Terminaux vracs liquides
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- 47,5 Mt
- 6,6 millions de m³ de stockage
- 45% de la capacité française de raffinage
- 80 % de la production française d’additifs et d’huiles
- 50 % de la production française de matières plastiques et d’élastomères
- 1er producteur européen de fertilisants
La plupart des autres ports du réseau francilien, ports urbains ou plateformes multimodales, possèdent une activité BTP sur leur terminal.
Terminaux au Havre
- Le Havre, 2ème port français pour les trafics de vracs liquides
- Antifer, port pétrolier XXL : 18m de tirant d'eau, en accès direct aux VLCC jusqu’à 250 000 tonnes de port en lourd (à marée haute)
- Accueil 24h/24h des navires
- Appontements chimiques dans bassin à niveau, 13.8m de tirant d'eau
- Produits chimiques : aromatiques, butadiène, oléfines, additifs, fluides, solvants, biocarburants, alcools industriels, souffre, commodités, naphta…
Terminal pétrolier Antifer (CIM-CCMP)
- Accès direct aux pétroliers jusqu’à 550 000 tonnes, tirant d'eau 35 m
- 20% du pétrole brut importé en France
- 25.000 m³ par heure
- Capacité stockage: 640 000 m³ comprenant 4 réservoirs de 150 000 m³ de pétrole brut et 2 réservoirs de service de 20 000 m³ reliés par pipeline de 26 km aux installations pétrolières de la CIM au Havre (réseaux TRAPIL et CEPS)
Terminaux de Rouen et Port-Jérôme
- 3ème port français en vracs liquides
- Tirant d'eau de 10.5m à la montée et 11m à la descente
Terminal raffinage/pétrochimie
- 6 postes à quai
- Navires jusqu'à 50kT
- Filières : produits raffinés, produits chimiques, oléfines.
Terminal agroalimantaire
- 1 poste à quai
- Navires jusqu'à 8kT
- Filières : biocarburant
Terminaux franciliens
- Gennevilliers : point d’arrivée d’oléoducs de la Basse Seine et point de connexion avec les réseaux en rocade autour de Paris (réseau TRAPIL) ; dépôts pétroliers sur le port
- Limay : 1er port fluvio-maritime d’Ile-de-France ; terre-plein multivrac pouvant stocker tous types de trafic